I



IL EST ALLÉ À L’EAU

Il est allé à l’eau et a mouillé ses petits pieds (3x)
mais il n’a pas mouillé son (siffle) na na nana na na na na nana

-ses petites chevilles
-ses petits mollets
-ses petits genous
-ses petites cuisses

Il est allé à l’eau et a mouillé son (siffle) (3x)
son beau costume de bain
 

IL EST QUELQU'UN SUR TERRE

Il est quelqu'un sur Terre,
Va, mon rouet ! (bis - les deux vers)
Docile, tourne, va ton train,
Et dis, tout bas, ton doux refrain.
Il est quelqu'un sur Terre
Vers qui mes rêves vont.

Il est dans la vallée,
Va, mon rouet ! (bis - les deux vers)
Docile, tourne, va ton train,
Et dis, tout bas, ton doux refrain.
Il est dans la vallée
Un moulin près du pont.

L'amour y moud sa graine,
Va, mon rouet ! (bis - les deux vers)
Docile, tourne, va ton train,
Et dis, tout bas, ton doux refrain.
L'amour y moud sa graine
Tant que le jour est long.

La nuit vers les étoiles,
Va, mon rouet ! (bis - les deux vers)
Docile, tourne, va ton train,
Et dis, tout bas, ton doux refrain.
La nuit vers les étoiles
Soupire sa chanson.

La rou' s'y est brisée,
Va, mon rouet ! (bis - les deux vers)
Docile, tourne, va ton train,
Et dis, tout bas, ton doux refrain.
La rou' s'y est brisée
Finie est la chanson.
 

IL ÉTAIT UN AVOCAT

Il était un avocat,
Tour, tour, tourlarirette,
Il était un avocat,
Tourlarirette, laronfa.

Il avait un beau rabat,
Tour, tour, tourlarirette,
Il avait un beau rabat,
Tourlarirette, laronfa.

Et un habit de fin drap,
Tour, tour, tourlarirette,
Un' perruq' de poil de rat,
Tourlarirette, laronfa.

Des culott's de poil de chat,
Tour, tour, tourlarirette,
Mais il n'avait pas d' ducats,
Tourlarirette, laronfa.

Droit au palais il s'en va,
Tour, tour, tourlarirette,
Ses papiers dessous son bras,
Tourlarirette, laronfa.

Et son affaire il plaida,
Tour, tour, tourlarirette,
L'histoir dit qu'il la perda,
Tourlarirette, laronfa.

De chagrin il se penda,
Tour, tour, tourlarirette,
Par la suite on l'enterra
Tourlarirette, laronfa.
 

IL ÉTAIT UNE BERGÈRE

Il était un' bergère,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Il était un' bergère,
Qui gardait ses moutons,
Ron, Ron,
Qui gardait ses moutons.

Elle fit un fromage,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Elle fit un fromage,
Du lait de ses moutons,
Ron, Ron,
Du lait de ses moutons.

Le chat qui la regarde,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Le chat qui la regarde,
D'un petit air fripon,
Ron, Ron,
D'un petit air fripon.

Si tu y mets la patte,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Si tu y mets la patte,
Tu auras du bâton,
Ron, Ron,
Tu auras du bâton.

Il n'y mis pas la patte,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Il n'y mis pas la patte,
Il y mis le menton,
Ron, Ron,
Il y mis le menton.

La bergère en colère,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
La bergère en colère,
A tué son chaton,
Ron, Ron,
A tué son chaton.

Elle fut à confesse,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Elle fut à confesse,
Pour demander pardon,
Ron, Ron,
Pour demander pardon.

- Mon Père, je m'accuse,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Mon Père, je m'accuse,
D'avoir tué mon chaton,
Ron, Ron,
D'avoir tué mon chaton.

- Ma fill', pour pénitence,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
Ma fill', pour pénitence,
Nous nous embrasserons,
Ron, Ron,
Nous nous embrasserons.

- La pénitence est douce,
Et ron, ron, ron, petit patapon.
La pénitence est douce,
Nous recommencerons,
Ron, Ron,
Nous recommencerons
 

IL ÉTAIT UN PETIT NAVIRE

Il était un petit navire, (bis)
Qui n'avait ja-ja-jamais navigué. (bis)
Ohé ! Ohé !

Il entreprit un long voyage, (bis)
Sur la mar Mé-Mé-Méditerranée. (bis)
Ohé ! Ohé !

Au bout de cinq à six semaines, (bis)
Les vivres vin-vin-vinrent à manquer. (bis)
Ohé ! Ohé !

On tira z'à la courte paille, (bis)
Pour savoir qui-qui-qui serait mangé. (bis)
Ohé ! Ohé !

Le sort tomba sur le plus jeune, (bis)
C'est donc lui qui-qui-qui sera mangé. (bis)
Ohé ! Ohé !

On cherche alors à quelle sauce, (bis)
Le pauvre enfant-fant-fant sera mangé. (bis)
Ohé ! Ohé !

L'un voulait qu'on le mit à frire, (bis)
L'autre voulait-lait-lait le fricasser. (bis)
Ohé ! Ohé !

Pendant qu'ainsi l'on délibère, (bis)
Il monte en haut-haut-haut du grand hunier. (bis)
Ohé ! Ohé !

Il faut au ciel une prière, (bis)
Interrogeant-geant-geant l'immensité. (bis)
Ohé ! Ohé !

Mais regardant la mer entière, (bis)
Il des flots-flots-flots de tous côtés. (bis)
Ohé ! Ohé !

" Oh ! Sainte Vierge ma patronne ", (bis)
Cria le pau-pau-pauvre infortuné. (bis)
Ohé ! Ohé !

" Si j'ai péché, vite pardonne, (bis)
Empêche-les de-de-de me manger. " (bis)
Ohé ! Ohé !

Au même instant un grand miracle, (bis)
Pour l'enfant fut-fut-fut réalisé. (bis)
Ohé ! Ohé !

Des p'tits poissons dans le navire, (bis)
Sautèrent par-par-par et par milliers. (bis)
Ohé ! Ohé !

On les prit, on les mit à frire, (bis)
Le jeune mou-mou-mousse fut sauvé. (bis)
Ohé ! Ohé !

Si cette histoire vous amuse, (bis)
Nous allons la-la-la recommencer. (bis)
Ohé ! Ohé !
 

IL ETAIT VIEUX

1- C'était un tout jeune vieux
   Agé de 122 ans
   Y'est mort à 200 ans
   D'une attaque de branlant

R- Ah ! Y'était vieux, vieux, vieux.
   Ah ! Y'était vieux, vieux, vieux.

2- Y'est mort à 200 ans
   D'une attaque de branlant
   Y'était tout dérenghté
   A fallu le r'monter

3- La bouche comme une tomate
   Les oreilles comme des choux-fleurs
   Le nez comme un citron
   Le menton comme un savon

4- Les genoux comme des jambons
   Les jambes comme des bâtons
   Les orteils comme des galettes
   Les pieds comme des raquettes.
 

IL FAUDRA LEUR DIRE

Si c'est vrai qu'y a des gens qui s'aiment
Si les enfants sont tous les mêmes
Alors il faudra leur dire
C'est comme des parfums qu'on respire
Juste un regard facile à faire
Un peu plus d'amour que d'ordinaire

Puisqu'on vit dans la même lumière
Même s'il y a des couleurs qu'ils préfèrent
Nous on voudrait leur dire
C'est comme des parfums qu'on respire
Juste un regard facile à faire
Un peu plus d'amour que d'ordinaire

Juste un peu plus d'amour
Pour moins de larmes
Pour moins de vide
Pour moins d'hiver

Puisqu'on vit dans le creux d'un rêve
Avant que l'amour ne touche nos lèvres
Nous on voudrait leur dire
Juste un regard facile à faire
Un peu plus d'amour que d'ordinaire

Si c'est vrai qu'y a des gens qui s'aiment
Si les enfants sont tous les mêmes
Alors il faudra leur dire
Les mots qu'on reçoit
C'est comme des parfums qu'on respire
Juste un regard facile à faire
Un peu plus d'amour que d'ordinaire.
 

IL M’A DONNÉ SA GOMME

Il m’a donné sa gomme un soir oir oir oir...ouh ah
Je l’ai collé dans mon miroir oir oir oir ... ouh ah
Je la regarde tous les soirs oir oir oir.. ouh ah
En souvenir de notre amour our our our...ouh ah
Il m’avait dit: c’est pour toujours our our...ouh ah
 

IL PLEUT BERGÈRE

Il pleut, il pleut, bergère,
Presse tes blancs moutons,
Allons sous ma chaumière,
Bergère, vite, allons ;
J'entends sur le feuillage,
L'eau qui tombe à grand bruit :
Voici, voici l'orage ;
Voilà l'éclair qui luit.

Entends-tu le tonnerre ?
Il roule en approchant ;
Prends un abri, bergère,
A ma droite, en marchant.
Je vois notre cabane...
Et, tiens, voici venir
Ma mère et ma soeur Anne,
Qui vont l'étable ouvrir.

Bonsoir, bonsoir, ma mère ;
Ma soeur Anne, bonsoir ;
J'amène ma bergère
Près de vous pour ce soir.
Va te sécher, ma mie,
Auprès de nos tisons.
Sœur, fais-lui compagnie.
Entrez, petits moutons.

Soignons bien, ô ma mère,
Son tant joli troupeau ;
Donnez plus de litière
A son petit agneau.
C'est fait. Allons près d'elle.
Eh bien ! Donc te voilà !
En corset qu'elle est belle !
Ma mère voyez-la

Soupons, prends cette chaise
Tu seras près de moi ;
Ce flambeau de mélèze
Brûlera devant toi ;
Goûte de ce laitage ;
Mais tu ne mange pas ?
Tu te sens de l'orage.
Il a lassé tes pas.
 

INCENDIE À RIO (l'...)

1. En pleine nuit une sirène
    Appelle au feu tous les pompiers
    Et tout Rio qui se réveille
    Voit l'usine de café brûler
    Il n'y a pas de temps à perdre
    Sinon tout le quartier va brûler.
    Oui, mais voilà,
    Pendant c'temps là, à la caserne
    On entend les pompiers crier:

    refrain:
        Qu'est-ce qu'on a fait des tuyaux
        Des lances et d'la grande échelle?
        Qu'est-ce qu'on fait des tuyaux?
        Pas d'panique il nous les faut!

2. Mais l'incendie là-bas fait rage
    Et le ciel est noir de fumée
    Et tout les gens dans les étages
    Se d'sent: Mais que font les pompiers?
    Il n'y a pas de temps à perdre
    Sinon tout l'quartier va brûler.
    Oui, mais voilà,
    Pendant c'temps, à la caserne
    On entend les pompiers crier:

3. Au p'tit matin on le devine,
    Tout le quartier avait brûlé:
    Il ne restait plus que des ruines
    Sur des centain's de mètres carrés;
    Quand tout à coup dans le jour blême
    On vit accourir un pompier
    Qui s'écria:
    "Je viens d'la part du capitaine
    Vous dir'de n'pas vous énerver!"

    refrain final:
        On a r'trouvé les tuyaux
        Les lances et la grande échelle,
        On a r'trouvé les tuyaux
        Mais on cherche la manivelle...
        la la la la la la
 

ISABEAU S'Y PROMÈNE

1. Isabeau s'y promène, le long de son jardin
    Le long de son jardin, sur le bord de l'île
    Le long de son jardin, sur le bord de l'eau
    Sur le bord du vaisseau.

2. Elle y fît la rencontre de trente matelots
    De trente matelots sur le bord de l'île
    De trente matelots sur le bord de l'eau
    Sur le bord du vaisseau.

3. Le plus jeune des trente, il se mit à chanter
    Il se mit...

4. La chanson que tu chantes, je voudrais la savoir
    Je voudrais la ...

5. Embarque dans ma barque, je te la chanterai
    Je te la...

6. Quand elle fut dans la barque, ell'se mit à pleurer

7. Qu'avez-vous donc la belle, qu'avez-vous à pleurer

8. Je pleure mon anneau d'or, à l'eau il est tombé

9. Ne pleurez point la belle, je vous le plongerai

10. À la première plonge, il n'a rien ramené

11. À la deuxième plonge, l'anneau a voltigé

12. À la troisième plonge, le galant s'est noyé

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