M



MALBROUGH

Malbrough s'en va-t'en guerre
Miroton Miroton Mirotaine
Malbrough s'en va-t'en guerre
Ne sait quand reviendra (3 fois)

Il reviendra-z-à Pâques
Miroton Miroton Mirotaine
Il reviendra-z-à Pâques
Ou à la trinité (3 fois)

La trinité se passe...
Malbrough ne revient pas...

Madame à son tour monte...
Si haut qu'elle peut monter...

Elle aperçoit son page...
Tout de noir habillé...

Beau page, oh mon beau page...
Quelle nouvelle apportez...

Aux nouvelles que j'apporte...
Vos beaux yeux vont pleurer...

Quittez vos habits roses...
Et vos satins brochés...

Monsieur Malbrough est mort...
Est mort et enterré...
 

MA MÈRE ENFIN, MARIEZ-MOI

Refrain:   Ma mère enfin, mariez-moi,
                Je me languis dans la peine,
                Ma mère enfin, mariez-moi...
                Ou dites-moi pourquoi !
 

1. - Ma fille, il faut attendre un an.
    - Hélas, maman !
    Encore un an !
    Ainsi me répondez chaqu'an.

2. - Ma fill', nous n'avons plus de pain.
    - Comment, de pain ?
    Seigneur ! De pain !
    En trouverai chez le voisin.

3. - Ma fill', nous n'avons plus de vin.
    - Comment, de vin ?
    Seigneur ! De vin !
    Puis'rons de l'eau dans le bassin.

4. - Ma fill', nous n'avons plus de sel.
    - Comment, de sel ?
    Seigneur ! De sel !
    Au saloir en est plein boissel.

5. Ma fill', nous n'avons plus d'argent.
    - Comment, d'argent ?
    Seigneur ! D'argent !
    En gagnerons en travaillant.

6. - Ma fill', nous n'avons pas d'anneau.
    - Comment, d'anneau ?
    Seigneur ! D'anneau !
    Prendrons un cercle du cuveau !
 

MA PLUME

Ma plume va percer mon papier
Avant j'arrive à dessiner
Les visages, le temps, la saison
Qui nous feraient un doux plaisir
Et combleraient tous les désirs
Tant ceux du cœur que d'la raison
Les soirs où l'espoir d'un bonheur a l'air si loin
Les dessiner me f'rait du bien
En attendant...

Ma plume va percer mon papier
Avant j'arrive à dessiner
Tous nos espoirs, toutes mes questions
J'aurais vu l'fond de l'encrier
La lumière du jour s'en aller
Emportant l'reste d'mes illusions
Comment savoir si on va perdre ou ben gagner
Comment ne pas tout effacer
En attendant...

Les soirs où l'espoir d'un bonheur a l'air si loin
Les dessiner me f'rait du bien
En attendant...

Avant d'me rasseoir au salon
Le cœur remplit de confusions
Une chose quand même me fait plaisir
Ma plume ne fera que dormir
Par un dessin par une chanson
J'y reviens toujours de toutes façons
 

MARIANN' S'EN VA T'AU MOULIN

1-Mariann' s'en va t'au moulin
    Afin d'y fair' moudre son grain,
    Assise sur son âne,
    La belle petite Marianne,
    Assise sur son âne Martin,
    Pour aller au moulin.

R-Eh ! Au p'tit trot, p'tit trot, p'tit trot,
    C'est le refrain de la meunière,
    Au p'tit trot, p'tit trot, p'tit trot,
    C'est le refrain de son moulin.

2-En chemin ell' rencontra
    Une voisine et babilla
    Et laissa là son âne,
    La belle petite Marianne,
    Et laissa là son âne Martin,
    S'en aller au moulin.

3-Mais le loup passait par là,
    Et le pauvre âne dévora !
    Le loup a mangé l'âne
    D'la belle Marianne,
    Le loup a mangé l'âne Martin,
    S'en allant au moulin.

4-Et quand Marianne arriva,
    Son âne plus ne retrouva.
    "Qu'as-tu fait de ton âne,
    La belle petite Marianne,
    Qu'as-tu fait de ton âne Martin,
    S'en allant au moulin ?"

5-"On me l'a volé, je crois,
    En promenant dedans ces bois...
    On m'a volé mon âne,
    La pauvre petite Marianne,
    On m'a volé mon âne Martin,
    S'en allant au moulin."

6-Quand le meunier entendit ça,
    Trois beaux écus il lui donna.
    Ell' rachète un autre âne,
    La belle petite Marianne,
    Elle rachète un autre âne Martin,
    Pour aller au moulin.

7-Au logis, quand ell' rentra,
    Son homm' de colère éclata :
    "Ce n'est pas là notre âne,
    La sotte petite Marianne !
    Ce n'est pas là notre âne Martin,
    S'en allant au moulin."

8-"Notre âne avait les quat'pieds blancs
    Et les oreilles à l'avenant,
    Et le bout du nez pâle,
    La folle petite Marianne,
    Et le bout du nez pâle, Martin,
    Qui allait au moulin."

9-"Sais-tu pas, pauvre nigaud,
    Que tous les ân' changent de peau ?
    C'est ce qu'a fait notre âne,
    Sur la foi de la petite Marianne,
    C'est ce qu'a fait notre âne Martin,
    En allant au moulin !"
 

MARCHE EN AVANT

    refrain:
        Marche, marche, marche en avant
        Marche, marche, marche en avant

1. Marche en avant, c'est la vie qui t'appelle
    Marche en avant, emportant ton amour
    Marche en avant, vers les terres lointaines
    Marche en avant toujours

2. Marche en avant, vers les cités futures
    Que bâtiront tes mains avec amour
    Le vie est la plus belle aventure
    Marche en avant toujours

3. Marche en avant, qu'importe la souffrance
    Marche en avant, combats pour ton amour
    La vie, la mort ont la même résonance
    Marche en avant toujours

4. Marche en avant, un jour plein d'espérance
    La mort prendra visage de l'amour
    Tends-lui la main et pars avec confiance
    Marche en avant toujours

MARSEILLAISE (la...)
(Hymne national français)

1-Allons enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé. (bis)
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces soldats,
Qui viennent jusque dans nos bras
Egorger nos fils et nos compagnes.

R-Aux armes citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !

2-Que veut cette horde d'esclaves
De traîtres, de rois conjurés.
Pour qui ces ignobles entraves
Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
Français pour nous ah ! Quel outrage
Quel transport il doit exciter,
C'est nous qu'on ose menacer
De réduire à l'antique esclavage !

3-Quoi ces cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers ?
Quoi ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ? (bis)
Grands dieux, par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient.
Les vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées.

4-Tremblez tyrans et vous perfides,
L'opprobe de tous les partis.
Tremblez, vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix. (bis)
Tout est soldat pour vous combattre.
S'ils tombent nos jeunes héros,
La France en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre.

5-Français en guerriers magnanimes
Portez ou retenez vos coups !
Epargnez ces tristes victimes,
A regret s'armant contre nous. (bis)
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres, qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère.

6-Amour sacré de la Patrie
Conduis, soutiens nos bras vengeurs.
Liberté, liberté chérie
Combats avec tes défenseurs. (bis)
Sous nos drapeaux que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que nos ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire.

7-Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus.
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus. (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
 

MARTIN PREND SA SERPE

1-Martin prend sa serpe,
    Au bois il s'en va ; (bis)
    Faisait grand froidure,
    Le nez lui gela !

R-Ah ! Quel dommage !
    Quel dommag' Martin !
    Martin quel dommage !

2-Faisait grand froidure,
    Le nez lui gela ; (bis)
    Martin prit sa serpe,
    Son nez il coupa.

3-Martin prit sa serpe,
    Son nez il coupa ; (bis)
    Lors trois pauvres moines
    Passèrent par là.

4-Lors trois pauvres moines
    Passèrent par là ; (bis)
    " Ah ! ", dit le plus jeune,
    " Qu'est-ce que voilà ? "

5-" Ah ! ", dit le plus jeune,
    " Qu'est-ce que voilà ? " (bis)
    " C'est le nez d'un homme,
    Ne le vois-tu donc pas ? "

6-" C'est le nez d'un homme,
    Ne le vois-tu donc pas ? " (bis)
    Le mit dans sa poche :
    " Ça nous servira ! "

7-Le mit dans sa poche :
    " Ça nous servira ! (bis)
    Pour moucher les cierges
    Au bout de l'échalas. "

8-"Pour moucher les cierges
    Au bout de l'échalas. " (bis)
    Mais Martin, l'pauvr' homme
    Ne peut plus s'moucha !
 

MA TANTE DU MAROC

J’ai une tante du Maroc qui s’appelle Hip Hop (2x)
J’ai une tante du Maroc, j’ai une tante du Maroc
J’ai une tante du Maroc qui s’appelle Hip Hop

Elle descend de son chameau quand elle arrive Hop la hop la, Hip hop (2x)
...
Et elle boit son verre de lait quand elle a soif Glou glou, hop la hop la, hip hop
...
Et elle mange son chocolat quand elle a faim Miam miam, glou glou, hop la hop la, hip hop
...
Et elle met ses mini-jupes quand elle a chaud Wow wow, miam miam, glou glou....
...
Et elle sort ses pistolets quand elle a peur Pow pow, wow wow, miam miam...
 

MA VALISE

Je reprends ma valise,
ma cane et mon pépin,
ma grosse malle grise
et mon p¹tit sac à main.
Et je pars !
Tagada, tagada, tagada.
Ohé coché ! Occupé ? Tant pis !
 

ME SUIS MISE EN DANSE

Me suis mise en danse,
Avec mes galants, ma mie,
Me suis mise en danse,
Avec mes galants.
Celui qui plus m'aime
M'a serré la main, ma mie,
Celui qui plus m'aime
M'a serré la main.

Galant, si tu m'aimes,
Comme fais semblant, ma mie,
Galant, si tu m'aimes,
Comme fais semblant.
M'offrirais parure
De quelques rubans, ma mie,
M'offrirais parure
De quelques rubans.

Je t'en offre un rouge,
Un vert et un blanc, ma mie,
Je t'en offre un rouge,
Un vert et un blanc.
Ne les faudra mettre
Que trois fois l'an, ma mie,
Ne les faudra mettre
Que trois fois l'an.

L'un à Pentecôte,
L'autre à la Saint-Jean, ma mie,
L'un à Pentecôte,
L'autre à la Saint-Jean.
Et l'autre à nos noces,
Belle, quand seront, ma mie,
Et l'autre à nos noces,
Belle, quand seront.
 

MODE DES ROBES (la...)

J’suis passé par l’Europe pour voir la nouvelle mode des robes (bis)
En arrivant en Angleterre les robes étaient rendu à terre

Refrain: Les mamans du Canada n’aimeraient pas ça, Hé! (bis)

En arrivant en Angleterre les robes étaient rendu à terre (bis)
En arrivant aux Antilles les robes étaient rendu aux chevilles

En arrivant aux Antilles les robes étaient rendu aux chevilles (bis)
En arrivant à Moscou les robes étaient rendu aux genous

En arrivant à Moscou les robes étaient rendu aux genous (bis)
En arrivant en Suisse les robes étaient rendu aux cuisses

En arrivant en Suisse les robes étaient rendu aux cuisses (bis)
En arrivant en Norvège les robes étaient rendu au siège

En arrivant en Norvège les robes étaient rendu au siège (bis)
En arrivant à Rimouski les robes étaient rendu au nombril

En arrivant à Rimouski les robes étaient rendu au nombril (bis)
Les p’tits vieux de par chez nous avaient les 2 yeux dans l’même trou

Les p’tits vieux de par chez nous avaient les 2 yeux dans l’même trou (bis)
Les p’tits vieux de par chez eux en avaient les larmes aux yeux

Les p’tits vieux de par chez eux en avaient les larmes aux yeux (bis)
Si ma chanson avait un boutte les robes en auraient pu pantoute
 

MOI JE SAIS

Moi je sais, sais que je t’aime (3x)
Ah oui, je le sais

Si fort que j’en rêve (3x)
Le jour et la nuit

Amitié, j’en rêve (3x)
Ah oui amitié
 

MON PÈRE AVAIT CINQ CENTS MOUTONS

Mon Père avait cinq cents moutons, (bis)
Et j'en suis la bergère,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Et j'en suis la bergère.

La première fois qu'j'les ai gardés, (bis)
Le loup m'en mangea quinze,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Le loup m'en mangea quinze.

Le fils du roi vint à passer, (bis)
Me rendit la quinzaine,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Me rendit la quinzaine.

Et la quinzain' qu'il m'a donnée, (bis)
Est plus belle que la mienne,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Est plus belle que la mienne.

"Quand je tondrai mes blancs moutons, (bis)
Vous aurez de la laine,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Vous aurez de la laine.

- Mais de la laine, je n'en veux pas, (bis)
Je veux ton coeur bergère,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Je veux ton coeur bergère.

- Mon coeur, je gage, vous n'aurez pas, (bis)
Je l'ai promis à Pierre,
Lonlaire, lonlaire, lonlaire, lonla !
Je l'ai promis à Pierre."
 

MON PÈRE AVAIT UN CHAMP DE POIS

Mon père avait un champ de pois,
Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
J'en cueillais deux, j'en mangeais trois...
Doux, venez-vous, belle, venez promener ?
Doux, Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?

J'en cueillais deux, j'en mangeais trois,
Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
Un jour, m'y suis piqué le doigt...
Doux, venez-vous, belle, venez promener ?
Doux, Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?

Un jour, m'y suis piqué le doigt,
Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
J'en fus malade au lit trois mois...
Doux, venez-vous, belle, venez promener ?
Doux, Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?

J'en fus malade au lit trois mois,
Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
Tous mes parents venaient m'y voir...
Doux, venez-vous, belle, venez promener ?
Doux, Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?

Tous mes parents venaient m'y voir,
Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
Celui que j'aime ne vient pas...
Doux, venez-vous, belle, venez promener ?
Doux, Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?

Celui que j'aime ne vient pas,
Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
N'est-ce pas lui qu'on voit là-bas ?
Doux, venez-vous, belle, venez promener ?
Doux, Doux, venez-vous prom'ner avec moi ?
 

MON PÈRE M'A MARIÉ

Mon père m'a marié',
J'entends la perdrix dans les blés,
A un vilain il m'a donné',
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé.

Un incivil il m'a donné,
J'entends la perdrix dans les blés,
Qui n'a ni maille, ni denier,
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé.

Qui n'a ni maille, ni denier,
J'entends la perdrix dans les blés,
Qu'un vieux bâton de vert pommier,
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé.

Qu'un vieux bâton de vert pommier,
J'entends la perdrix dans les blés,
Avec quoi m'en bat les côtés,
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé.

Avec quoi m'en bat les côtés,
J'entends la perdrix dans les blés,
" Si vous m' battez, je m'en irai !
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé.

Si vous m' battez, je m'en irai !
J'entends la perdrix dans les blés,
Dans la rivière me noyer,
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé.

Dans la rivière me noyer,
J'entends la perdrix dans les blés,
Et vous battrez qui vous voudrez,
Entends-tu, Pierrot, oh !
J'entends la caille,
Parmi la paille,
J'entends la perdrix dans le blé. "
 

MON PÈRE MA DONNÉ DES RUBANS

Mon père m'a donné
Des rubans, des rubans.
Mon père m'a donné
Des rubans satinés.

Pourquoi t'a-t-il donné
Ces rubans, ces rubans.
Pourquoi t'a-t-il donné
Ces rubans satinés.

Il me les a donnés
pour avoir, pour avoir.
Il me les a donnés
Pour avoir un baiser.
 

MON PÈRE M'A DONNÉ UN MARI

Mon pèr' m'a donné un mari,
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
Mon pèr' m'a donné un mari,
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !

D'une feuille on fit son habit,
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
D'une feuille on fit son habit,
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !

Le chat l'a pris pour un' souris,
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
Le chat l'a pris pour un' souris,
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !

Au chat ! Au chat ! C'est mon mari,
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
Au chat ! Au chat ! C'est mon mari,
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !

Le feu à sa paillasse a pris,
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
Le feu à sa paillasse a pris,
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !

Mon petit mari fut rôti,
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
Mon petit mari fut rôti,
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !

Pour me consoler, je me dis :
Mon Dieu ! Quel homm',
Quel petit homme !
Pour me consoler, je me dis :
Mon Dieu ! Quel homm',
Qu'il est petit !
 

 MONSIEUR BONG

Monsieur Bong, bong, bong
Qui vient de Hong-Kong, kong, kong
Il nous a fait, un beau cadeau, oh oh
On te la donne, la grippe qui cogne
Chez nous on l’a eu
Pis on en veut plus

REVENIR